lundi 22 février 2016

Ce qui a changé depuis le début de ma perte de poids : partie 3.

Cet article est la continuité des articles suivants : partie 1, partie 2.
Je vous invite à les relire si vous êtes perdus. Sinon, en voici la suite et fin.

A vous tous qui avez réussi votre voyage, félicitations. Merci de me montrer que c'est possible. J'arrive.

La perception de "moi" par rapport "aux autres" a changé.

J'ai l'impression de tout juste avoir découvert qu'il est normal que chaque personne mange différemment (en quantité je savais, mais en qualité aussi), qu'on a voulu me faire croire que les besoins alimentaires sont identiques pour tout le monde ; que si "pour untel ça fonctionne, il n'y a pas de raison de prendre du poids en adoptant le même style de vie". (Enfin, ça doit être vrai si on mange 3 carottes par jour)
Mais en fait non. Il n'y a pas un mode de vie sain. Il y a un mode de vie sain par personne consciente de ses besoins et du fonctionnement de son corps/métabolisme.

Manger en petite quantité, c'est relatif à l'organisme dont on parle. (Un peu comme la perception du temps. Désolée. J'ai pas pu m'en empêcher).

J'ai arrêté de me comparer à autrui.

Si je suis en compétition aujourd'hui, c'est avec le moi d'hier. 


Puisque chaque personne a un métabolisme différent, je ne me sens plus inférieure à la personne qui mange 5 fois plus que moi et qui est mince. Je lui souhaite juste de se sentir bien, et je lui pique des recettes quand ça me chante.
Chaque jour est une chance de progresser : par rapport à ma façon de manger, la séance de sport que je vais réaliser, ma recherche d'emploi...
Alors, certes, je n'ai pas des résultats fulgurants, mais je vais à mon rythme. Et si mon rythme est celui de l'escargot malade ? Qu'à cela ne tienne, il me faudra juste continuer à progresser un peu tous les jours.

J'ai un objectif. J'y arriverai. Même l'escargot est capable de passer la ligne d'arrivée.

Je suis fière de moi.

Et puisque cet objectif ne concerne que moi, il est temps d'assumer et d'être fière de mes nouvelles habitudes. Pas pour les imposer à autrui, mais parce que je sais que c'est ce qui est bon pour moi.
Il est temps de ne plus me laisser emporter par les habitudes d'autrui juste parce qu'elles me font envie, ou parce qu'on les estime adaptées pour moi à ma place. Il est temps que ne me laisse plus faire, que j'ose dire "non" et que mes choix soient reconnus.

Le nouveau moi sait (ou pense savoir/saura) ce qui est bon pour elle et ne laissera plus autrui essayer de lui faire croire le contraire.

Même si je suis loin d'avoir réussi, je suis fière de moi, de mes choix et de la personne que je suis et vais devenir.


Voilà qui conclue définitivement ma mise à jour/bilan des 9mois. (Et je viens de réaliser que c'est la même date que pour un accouchement. Et je ne sais pas encore si c'est mignon ou glauque). J'espère que cette série d'article aura été inspirante pas trop chiante.

Le trajet du changement est long, mais il vaut le coup. Accrochons-nous pour devenir les meilleurs nous possibles.

lundi 15 février 2016

Ce qui a changé depuis le début de ma perte de poids : partie 2.

Cet article est la continuité de celui-ci : Partie 1.
Je vous invite à relire son introduction si vous êtes perdus. Sinon, en route, on continue le bilan ! 

Des changements de mon état d'esprit.

Globalement, je dirais que mon nouvel état d'esprit me fait voir mon corps/le besoin de perdre du poids à tout prix de manière complètement différente de ce que j'ai pu vivre par le passé.
Puisqu'il ne s'agit plus de me poser des contraintes, perdre du poids n'est plus nécessaire à mon bien-être. Même si j'ai ressenti l'envie de baisser les bras plusieurs fois, si je me suis sentie incapable d'y arriver et que je ressentirai probablement la même chose à nouveau plus tard, eh bien un "échec" ne signifie plus l'arrêt de changement. Je trébuche, mais je ne laisse plus tomber.

J'arriverai à changer. J'arriverai à être la personne qui je veux être. Et je me laisse le temps qu'il faut pour cela.

De l'intérêt du blog.

Et finalement, tout coucher par écrit, même si je change d'avis comme de petite culotte, ça m'aide beaucoup à garder le cap. Savoir que je suis lue aussi. (Ah, le pouvoir du social chez les animaux organisés en société !) Parfois, souvent, quand j'ai un coup de mou, je me pose devant le pc ou j'embarque mon cahier (old school baby, on en a déjà parlé) et j'écris. Et le découragement s'en va.


Vous voulez perdre du poids ? Démarrez un blog*. 

N'essayez pas d'en faire une masterpiece. Laissez le juste devenir votre espace personnel de défouloir. Et gardez le cap. (Envoyez moi l'adresse en commentaire aussi, qu'on puisse se soutenir mutuellement !)

J'ai encore pas mal de progrès à accomplir. J'ai toujours des difficultés à arrêter de manger quand je n'ai plus faim par exemple. Mais tout ça en remarquant que je remplis moins mes assiettes qu'avant, et que je me rends compte que je n'ai plus faim. Ce que je veux retenir pour l'instant, c'est que j'avance dans la bonne direction.

Il me reste encore une partie du bilan à vous raconter. Mais ça sera pour le prochain article. A bientôt enzymes.

*NB : un compte instagram ça marche aussi. Tout dépend de votre moyen d'expression favori !

mardi 9 février 2016

Ce qui a changé depuis le début de ma perte de poids : partie 1.


Je lisais il y a peu un article d'Habitudes Santé à propos du calcul du poids idéal. Je n'en ferai pas un résumé ici (mais je vous encourage à passer y faire un tour si la question vous intéresse).

Sandra y évoquait un point qui me paraît intéressant à ce stade de mon voyage contre le gras : faire une liste des changements qui sont apparus en nous depuis le moment où on s'est réveillé en se disant "cette fois c'est la bonne, je change d'habitudes et je maigris".
Je me lance donc dans l'exercice. Je fais le point sur 9mois de blogging, mon état d'esprit, mes réussites et échecs, ma vision actuelle de la perte de poids.

Ah. Une dernière précision. Je ne ferai pas ici la liste type "je bois plus d'eau", "je mange moins gras", "je ne vais plus au fast food". Même si toutes ces choses sont plutôt vraies, je préfère me pencher sur les changements profonds. (Si vous sentez qu'un article plus léger de ce type s'impose, n'hésitez pas à me le dire en commentaire !)


Je n'ai plus besoin de perdre du poids.


Oui. Bon. C'est un peu particulier d'écrire ça en premier dans la liste. Laissez moi m'expliquer.
Je ne veux plus perdre du poids. Je l'évoquais il y a quelques temps. Je veux mettre du 40, je veux affiner ma silhouette, je veux être en bonne santé. Mais dépendre d'un chiffre non représentatif affiché sur un outil de torture ? 
Non. Merci. Mais non merci. Vraiment.

Je n'ai plus besoin de me fixer des objectifs de temps.


A mes débuts, je m'étais fixée un objectif : perdre 3 kgs par mois, objectif que je pensais raisonnable et atteignable, avec une limite de temps fixée à un an. (ce qui devait faire -35 kilos. Mes TOCs me perdront).
Aujourd'hui, je me rends compte que la méthode n'était pas forcément efficace.

Fixer une limite de temps sur un changement qui est sensé durer toute la vie. Vous ne voyez pas comme une contradiction ?

Plus, fixer une limite de temps provoque un stress, une peur de l'échec, un risque accru de tout laisser tomber. Bah oui. Si on n'y arrive pas (quelle que soit la raison) le mois numéro n, ça signifie qu'on devra perdre 6kilos le mois numéro n+1 ? On augmente donc la probabilité de ne pas y arriver (6kilos par mois c'est beaucoup quand même les gars !).

Aujourd'hui, je me rends compte que "perdre du poids", quand on est classé médicalement dans la catégorie "obésité morbide", eh ben c'est long. Ca se compte en années ma p'tite dame !

Je me fixe des objectifs de comportements sains à adopter.


L'objectif principal, c'est de changer, d'évoluer, de prendre soin de soi et de son alimentation.

 Le poids, c'est un effet collatéral. 

Ma motivation première est aujourd'hui de manger sainement, de manière appropriée pour mon corps, de savoir dire "oui, j'ai envie de ce morceau de fromage, mais je le mangerai demain midi et je ne m'en sentirai pas frustrée." (et ça, ça n'a pas été facile.)




Pour exterminer mon gras sainement, mes objectifs doivent être sur mes comportements et non sur le poids perdu. 
Exemple : je ne dis plus "je vais perdre 3 kilos par mois" mais "je vais manger uniquement des légumes le soir". Et j'arrête de stresser sur les kilos. Ca aura forcément un effet bénéfique sur le long terme. 
Je dois travailler sur mon nouveau mode de vie pour en faire quelque chose où je me sens bien et pour lequel je n'ai pas à faire d'efforts. La perte de poids suivra forcément, et durablement s'il vous plaît. Il est temps d'arrêter de se battre contre soi-même et de travailler main dans la main.


J'ai encore pas mal de choses à vous raconter. Mais je vais m'arrêter là pour aujourd'hui pour vous éviter la surchauffe cérébrale. Je vous dis à bientôt pour la suite (et peut être fin) de la liste, avec des conclusions inspirantes et une happy end. (enfin j'espère, il faut que j'apprenne à faire les teasers...).

lundi 1 février 2016

Trucs et astuces n°1 : visualiser son objectif pour aider l'extermination du gras*

Nouvelle année (oui, ça fait déjà un mois, mais j'étais pas prête), nouveaux objectifs, nouveau design blogger (il est canon hein?), nouveaux progrès. J'en arrête même de faire des phrases grammaticalement correctes. (Mais je suis sûre que personne ne m'en veut)
Tout ça pour introduire le fait que je souhaite aujourd'hui vous parler de mon nouvel outil magique pour arriver à mon objectif : rentrer mon divin fessial dans du 40. 

Arrêtons nous 5secondes sur l'objectif.

Pourquoi du 40 déjà ? Parce qu'on peut s'habiller partout et que je pourrai toujours me reconnaître dans le miroir. (J'aime les formes, que voulez-vous.)
Du 40, concrètement ça donne quoi ?
Selon mes sources, ça nous donne du 98cm de bassin pour du 72cm de taille. Je ne cible pas les cuisses/poitrine/autre partie du corps pour l'instant parce qu'elles ne me gênent pas.
Après un calcul savant mais très rapide, ça me donne donc 38cm de bassin et 37cm de taille à perdre.
Un dernier point. Le poids qui va correspondre à ces mesures, je m'en tamponne le coquillard avec une patte de chameau véloce.

Ca fait déjà 5sec, c'est quoi l'outil ? 

Avant tout, je précise que cet outil me permet à la fois de visualiser mon objectif et de me rappeler tous les matins jours que je ne dois pas laisser tomber. Il devrait être amélioré par quelques autres outils visuels, mais chaque chose en son temps.

Photos :


C'est pas les pokemons qu'il faut regarder !

Et je vous jure que je ne mets plus ce chapeau. Moi aussi j'ai eu 16ans.

Un petit DIY ?

C'est très simple. Prenez un max de post-it, trouvez un endroit stratégique, et pour un post-it correspond 1 cm/kilo/mesure de votre choix à perdre.
Temps de réalisation : proportionnel à votre objectif.
Fixez vous une date de mesure et à chaque fois qu'un cm est perdu, enlevez-le.
Personnellement les cm enlevés ont été détruits et jetés. J'aurais aimé les brûler mais c'était un peu risqué avec la moquette... Je pense quand même que je ferai une cérémonie de funérailles à la fin... Pour faire le deuil de mon gras quoi.











Pour l'instant ça fonctionne. Et comme je viens de découvrir le monde merveilleux des DIY (même si je reconnais que le mien est assez moche), j'ai envie d'essayer plein d'autres outils aperçus sur Pinterest !

Alors, un outil visuel pour perdre du poids, vous vous y mettez ?
Parole de moi, le plus dur c'est de démarrer !

*Je vous renvoie à l'article de la semaine précédente pour vous expliquer pourquoi je n'ai pas utilisé l'expression "perdre du poids".

lundi 25 janvier 2016

Ca se discute n°3 : Et si on arrêtait d'utiliser un français approximatif ?

Ou : pourquoi on ne devrait pas dire "je veux perdre du poids".


Point trop d'introduction, les titre et sous-titre me semblent suffisamment clairs. Après des hauts et des bas niveau motivation ses dernières semaines, aujourd'hui j'ai à nouveau envie d'écrire un article argumentatif. 

(Je me suis aussi crée un outil pour m'aider à visualiser mon objectif, mais on en parlera plus tard).

Argumentons donc sur le fait que rien ne me paraît juste dans la phrase "je veux perdre du poids" (qu'elle qu'en soit la raison d'ailleurs). Et j'irais même plus loin en supposant qu'elle incite à faire des mauvais choix/rendre psycho-paranoïaque (oui, j'invente des diagnostiques)/ ne pas permettre d'arriver à son objectif à long terme.

  • Problème numéro 1 : "Perdre du poids"

Non. Vous ne voulez pas vraiment le perdre ce poids. Pourquoi ? Pour la très bonne raison que quelque chose de perdu, on cherche à le retrouver.
Je vais plus loin, accrochez-vous à vos slips.
Parce qu'utiliser un mot plutôt qu'un autre ça semble anodin, mais qu'en fait ça ne l'est pas. Le langage façonne notre pensée (et inversement). Quand on dit "'perdre du poids", on se laisse l'opportunité de le reprendre. (Et éventuellement le reperdre plus tard. Mais surtout, de le reprendre). "Perdre" du poids c'est aussi se laisser la possibilité de ne jamais y arriver. Et puis ça sous entend un peu aussi qu'on n'a pas tellement envie d'y arriver. (Personnellement, je n'aime pas perdre des effets personnels...)
Allons encore plus loin.
Si vous avez "perdu" du poids, durablement, sans jamais le reprendre, il y a de fortes chances qu'en pensant "j'ai perdu du poids" vous vous voyiez toujours comme un ancien obèse : dans la peur constante de redevenir "comme avant". Et c'est peut être simplement cette utilisation erronée du français qui ne vous aide pas à évoluer.


  • Problème numéro 2 :  "Perdre du poids"

Dire "perdre du poids", c'est donc peut être prendre le risque de devenir accro aux chiffres/au pèse-personne/aux moindres 100g de plus ou de moins qui vont s'afficher. Quand on veut perdre du poids, on fait attention à ce poids justement. Parfois à notre IMC.
Mais à quel moment est ce que le métabolisme/masse musculaire/autre donnée importante est pris en compte dans l'équation ?

Admettons. Vous êtes un(e) athlète de haut niveau. Vous avez plus de muscles que de paires de chaussures (impressionnant, je sais) et moins de masse graisseuse que le nombre de doigts d'une main.
On a vu pire comme situation corporelle. Mais pensez-vous vraiment que le chiffre sur la balance est important ?
Avec ce volume de muscle, il y a fort à parier que vous avez un IMC trop élevé pour votre taille. Alors à moins de pratiquer un sport de combat, votre poids vous vous en tamponnez un peu. (enfin j'espère, parce que c'était un argument clé de mon discours).


Pour nous, obèses, le problème n'est pas le poids, mais le gras. C'est lui qui est responsable des problèmes de santé, de nos difficultés de mouvement, des bourrelets plus ou moins disgracieux. Et monter sur la balance ne permet pas de mesurer efficacement la source du problème. (sauf si vous avez investi dans du matériel perfectionné. Et si vous êtes dans ce cas vous êtes en train de vous dire que vous lisez cet article pour rien. Mes excuses.)








Cet article prenant déjà des allures de pavé, je vais m'arrêter là et vous laisser l'opportunité de réfléchir et de compléter mon argumentation. Si vous n'êtes absolument pas convaincus, prenez quand même 5min pour penser au sens de "je veux". Puis remplacez le par "je vais" dans la phrase "je veux perdre du poids".

Si vous êtes convaincus, établissons entre nous le code suivant : au lieu de dire "je veux perdre du poids", utilisons plutôt à partir d'aujourd'hui "Je vais exterminer le gras qui est en trop".

A bientôt enzymes. J'espère que vous n'avez pas la migraine.

            


PS : Il me semble que quand on veut exterminer du gras, le meilleur moyen de mesure est de suivre ses mensurations. L'objectif est de rentrer dans le 38, peu importe le chiffre qui s'affiche sur la balance.

PS 2 : always think outside the box.

mercredi 20 janvier 2016

Avant, quand je trébuchais dans ma perte de poids, je laissais tout tomber.


Ouaip. La stabilité n'est pas encore là. Mais on y travaille !     ...     

Diantre ! J'en oublie mes bonnes manières !

Bonjour amies enzymes et merci de continuer à me lire malgré ma non régularité d'écriture.


Bien. J'en étais où ? Ah oui. La stabilité.
S'il y a bien une chose pour laquelle je tiens ce blog, c'est pour ne pas baisser les bras. Avant de me jeter sur mon cahier (oui. Je pré-écris mes articles en mode old school, papier/stylo t'as vu!) j'imaginais déjà vous rédiger un article pathétique : "J'y arrive pas", "c'est trop dur la vie", "j'ai envie de laisser tomber".

Bla Bla Bla !

Et puis finalement, je suis là, j'écris, et tout ce qui vient c'est que même si ce n'est pas simple au niveau alimentaire en ce moment, eh bien je peux quand même faire mieux et trouver des solutions.

[Note to self : si ça fait autant de bien, tu devrais peut-être penser à écrire plus souvent.]
Du coup. Plutôt que de m'étendre sur mes défauts, parlons des solutions :
  1. Je viens de télécharger l'appli 7 weeks : le descriptif nous vend la possibilité d'installer de nouvelles habitudes en 7 semaines (ouais ouais. Vous auriez pas deviné hein ?). Alors j'essaye de ré-installer le fait de ne manger que du végétal le soir et on verra si ça aide.
  2. Consulter Pinterest plus souvent : J'adore ce réseau. A chaque fois que j'y passe, je me sens reboostée. J'y suis tout un tas de tableaux avec des punchlines percutantes et qui me motivent. Et aucune comparaison avec d'autres personnes comme j'ai pu ressentir sur instagram. Seul soucis, c'est assez répétitif.
    Et comme toutes les citations de l'article viennent de là, à vous de juger si c'est efficace ou non pour vous.
  3. Je vais aussi arrêter de parler de poids, mesures et autres moyen de contrôle du gras pendant un moment. Cette fois, je change les habitudes avant de m'inquiéter de mon expansion adipeuse. (La phrase "je suis grosse" est revenue dans mon vocabulaire depuis que je me suis mesurée. Et j'aime pas ça. Genre. Pas du tout.)



Je sais. Je me répète à chaque article. Ma prof' (oui, c'est comme ça qu'on disait à mon époque) d'Espagnol au lycée disait : "la répétition fixe la notion". J'espère que c'est plus efficace dans l'apprentissage de nouvelles habitudes que pour l'Espagnol...
Boaf. Dans tout les cas je me concentre sur mon objectif.
Allez. on recommence. Blog version 2.0 à visée amincissante : manger sainement et arrêter de croire à la baguette magique qui fait perdre 35 kilos.
A bientôt enzymes. Je vous dis quoi très vite ! 

Avant, quand je trébuchais, je laissais tout tomber. Maintenant, je remonte dans le wagon rapidement. Bientôt, j'arrêterai d'arrêter.

         


lundi 11 janvier 2016

Guess who's back ...

Y a quelqu'un ? Oui ?! Et vous vous souvenez de moi ? 

...
Bon. Parfait. Alors, enzymes, il est temps de rattraper le temps perdu, de me remettre à tenir ce blog et de vous raconter le désastre adipeux que furent mes fêtes de fin d'année.



Imaginez...

Une semaine remplie de repas trop gras. Mon foie en complète dépéritude (et pourquoi pas ? Je n'ai plus le droit d'inventer des mots ?). L'accumulation de gras dans le ventre à base de foie gras, rillettes, fromages, saumon farci, raclette (oui, je sais que c'est du fromage) et autres mets de choix.
Ajoutez à ça un déménagement, une bonne dose de stress et l'impossibilité de me peser.

Non. Je ne cherche pas d'excuses. Oui, j'ai repris du poids...

Et si je voyais les choses du bon côté ?
Parce que prendre du poids pendant les fêtes ça n'a jamais été la fin du monde finalement.

Listons :
1. Je suis de retour (pour vous jouer un mauvais tour) dans mon Nord natal. Il pleut, mais je me sens chez moi.
2. Je ne peux plus me peser. Fini la paranoïa du pèse personne ! (Je vous parle de mes objectifs de 2016 dans le paragraphe qui suit.)
3. Je ne suis plus constipée. (Pardon. Mais pour moi c'est un soulagement)
4. C'est les soldes.

Mouais. La vie c'est pas si mal en fait.

J'ai quand même quelques mesures à prendre pour enfin en finir avec mon surplus graisseux.

(Remarquez qu'à 25 ans, on n'est plus à une semaine/mois près pour perdre les kilos en trop)

Listons bis :

  • Ne pas manger si je n'ai pas faim (et ça semble facile ...)
  • Ne pas me jeter sur la nourriture quand j'ai faim.
  • Me mesurer le bidou et la taille pour attester de mes progrès. C'est officiel. La balance, j'arrête! Peut être pas définitivement. Mais je ne veux plus avoir à stresser pour un chiffre alors que ce qui m'intéresse c'est ce à quoi je ressemble. (Vous voyez de quoi je veux parler ? Mesurer notre apparence physique avec un chiffre c'est complètement ridicule non?)
  • Faire des supers graphiques avec des mesures de ventre et de taille qui descendent. (On verra les cuisses plus tard)

Il va aussi falloir que je reprenne une routine sportive mais je ne suis pas encore décidée sur la question. (Faut dire qu'il est compliqué de trouver un pantalon de course chaud et confortable avec l'expansion popotale que je me paye)


Et sur le plan personnel ?

Boaf. J'ai été plus en forme. 2016 commencer avec l'accumulation de petites contrariétés. (Je suis même au chômage. Fichtre) C'est pas franchement agréable, mais je ne suis pas pessimiste. Tout ira bien, je règle un soucis à la fois.

Bisous les enzymes. A bientôt.

Jour je ne sais plus combien : il est temps de faire évoluer le blog et de reprendre les choses en main.