mardi 28 juillet 2015

J-279 : Le houblon, c'est trop bon...

A mes débuts de rédac' chef, je vous parlais de ma volonté de reprendre de bonnes habitudes. C'est toujours le cas, rassurez-vous, mais j'ai arrêté d'aborder le thème puisque tout se passait bien niveau de la réduction pondérale. Je me suis permise quelques articles farfelus, mais il est temps de revenir à nos moutons.


Avec mon premier "échec" de la semaine licorne est venue ma première remise en question à base de "Qu'est ce que je dois reprendre en main?". La réponse qui s'est imposée à moi est 42 (Big Up à toi le Geek!) que je consomme trop d'alcool. "Tout s'explique, elle est alcoolique" STOP ! 

On va revenir quelques années en arrière, disons pendant la fin de mes études : 2 dernières années de master de 2012 à 2014 (Comme ça je case que je suis en possession d'un master, une modestie à toute épreuve la fille). D'abord (et avant tout) le lieu : Lille. Pour les personnes qui y sont nées (comme moi) ou allées, vous savez que ce que j'appelle "la culture de la bière*" est omniprésent. Disons que c'est comme "l'apéro pastis" du sud, sauf que c'est dans un bar avec des copains à s'enfiler des pintes (ambiance stéréotypée du pub irlandais).
Imaginez-vous maintenant habitués à cette culture, déjà pratiquant, et en plus étudiants. Ca vous donne une consommation de bière hebdomadaire d'au moins 2L de bière**(4 pintes, un minimum).

Aujourd'hui, j'ai fini mes études, j'ai déménagé, mais j'ai gardé cet apprentissage culturel. (C'est quand même hautement sympathique de se retrouver au pub à parler avec tout le monde de tout et de rien) J'ai également baissé ma consommation (mine de rien). Donnez moi 2L de bière et je tombe dans le coma ! 

Sauf que même 50cl de temps en temps, pour une perte de poids, c'est moyen super pourri !
Ben oui, l'alcool, en terme de calories, c'est ENOOORME ! (CTB? Quelle grossièreté...)

Si jamais vous n'êtes pas convaincus de mon non alcoolisme, je vous rappelle qu'un panda c'est souvent bourré et ça pourtant, ça reste mignon : 

Si le panda est ivre naturellement, chez moi la consommation d'alcool est surtout rythmée par la présence des gens socialement intéressants dans mon entourage. C'est THE activité hautement sociale que je ne contrôle pas quand je reçois. Amis = bière = bon temps = prise de poids. Avec les mois de juillet et août, les amis, on les voit souvent... Perdre 3kg en juillet dans ces conditions, c'est mission impossible.

Il faut dire aussi que j'ai quelques idées reçues supers nazes à propos de l'alcool :
- Parce que ça se boit, ça s'élimine super facilement. (FAUX ! Arrête de rêver aux pandas et redescend sur terre Sophie)
- Boire à jeun, ça coûte moins cher. Bon, ça c'est vrai, mais carrément pas terrible pour mon foie.
- Boire ou conduire, il faut choisir. VRAI. Par contre, en général il faut boire ET manger. Et j'ai tendance à l'oublier ... (double peine pour la demoiselle, elle n'avait qu'à prendre un verre d'eau !)
- On devient alcoolique quand on consomme de l'alcool toutes les semaines. VRAI et FAUX. Le terme alcoolisme fait surtout référence à une dépendance, qui se traduit généralement par le fait de boire seul(e) tous les jours ou presque de manière ritualisée.

Maintenant que j'ai remis en question mes idées reçues, il serait temps de trouver des solutions pour arrêter de consommer non ? J'en vois deux : soit je me fais ermite de la montagne (ou du désert pourquoi pas), soit j'arrête d'aller au pub quand je vois les copaings... Sauf que ces solutions ne me conviennent pas, et me voilà dans une impasse.

Je fais appel à vous enzymes (pensez à Goku réalisant un Genkidama) ! Avez-vous d'autres solutions?

Hey, on s'en fout de ce que tu consommes, on voulait voir des pandas ! Je m'en doutais :

Rdv pour le bilan catastrophique lundi prochain ! ;)

* Illustration pour les sceptiques : 1975 dans le Nord.
** NB : quand je parle de bière, je parle d'une boisson houblonnée avec un degré d'alcool supérieur à 7.5. Le reste, c'est d'la flotte.



Jour 86 : "Quand je ne suis pas en mesure de publier le lundi, il ne faut pas s'attendre à ce que je contrôle ce que j'avale." Proverbe Chinois.

mardi 21 juillet 2015

Flash info spécial

Fait divers alarmant dans la région Midi Pyrénées, dans le département du Tarn et Garonne. Ce soir, aux alentours de 21 h, une jeune femme qu'on appellera S. a été victime d'une crise un peu particulière. En effet, prise d'une subite impulsion, elle rassemble ses affaires et part faire un footing "à la fraîche" comme on dit dans le milieu. Ses proches sont sous le choc, elle raconte.

(Elle va raconter comme elle a l'habitude d'écrire parce que sinon ça va être éprouvant. Et elle n'a pas créé assez d'endorphines pour tenir tout l'article...)

Bon, vous l'avez deviné, je suis allée courir. Pourquoi en faire tout un fromage une salade ? Parce que c'est le genre de comportement que je n'émets JAMAIS. Mais alors JAMAIS JAMAIS. De manière générale, la course, j'aime pas ça. Ca me fait mal, je me sens blobloter de partout, je crache mes poumons, mon coeur a envie de sortir par tous les orifices possibles (en particulier les oreilles, allez comprendre), je deviens rouge en un temps records et bref, c'est très très TROP éprouvant. 
Sauf que ce soir, j'en ai eu envie. Je vous situe le contexte : 

Fin de repas avec z'Homme, suite à une consommation irraisonnée de salade (ce qui explique pourquoi on ne fera pas de fromage ce soir) et une bonne lampée de flotte, je zieute rapidement mon fameux compteur de pas (Objectif une heure par jour n'est ce pas). Et là, c'est le drame ! (bon, ptete pas le drame, d'accord, je vous la refais) Et là, c'est la prise de conscience : manque 10 fichues minutes de marche sur ma journée... Il va donc falloir que je me rhabille (je ne vous avais pas dit qu'on était en pyjama d'été ? A oilp donc, tout à fait...) et que j'aille faire le tour du pâté (ce jeu de mot nourrituresque) de maison... Crotte et flûte ! Je me lève donc laborieusement du canap', je me traîne jusqu'à des vêtements (j'ai été aussi glamour que vous êtes en train de m'imaginer), et j'enfile tant bien que mal un débardeur de sport (violet - détail qui aura peut être de l'importance). 

Attention, c'est le moment de l'action décisive !

Mes yeux se posent sur mon sac de sport. Abandonné depuis 2 ou 3 semaines dans un recoin de la chambre pour cause de préférence pour les sports aquatiques. (Dieu, si tu pouvais faire un ptit quelque chose pour la météo ? Merci) Et là, l'idée, lumineuse - mais formulée de façon vulgaire dans mon cerveau malade - arrive ! "Et si j'allais courir !?" (c'est la version lumineuse ça, la version vulgaire reste au cerveau. Non non n'insistez pas...)

Une idée comme ça, on ne la laisse pas passer. En tout cas, moi je m'y suis accrochée. Avec un regain de vigueur inouï me voilà habillée en tenue de sportive (du dimanche), grolles abîmées aux pieds (mais qui tiennent le coup), i-pod et playlist qui déchirent dans l'oreille (pour empêcher au coeur de s'enfuir), fesses carrées dans la voiture direction le parc ! (Qui est à 15min de chez moi à pieds, courageuse, mais pas téméraire)

J'vous l'avais dit qu'il était violet mon débardeur ! 

Et finalement, j'ai couru. Pas longtemps, certes. Dix minutes. Mais dix minutes qui font du bien. Et je suis plutôt fière de ces dix minutes. Elles m'ont endorphinée bien comme il faut déjà. Ensuite, j'ai senti que j'en étais capable. J'ai même envisagé de renouveler l'expérience de manière régulière. (De faire ça plus qu'une fois par an quoi...)
Bon ça a été difficile malgré tout. Imaginez un unijambiste obèse, fumeur et asthmatique, en train de faire un footing. Ca y est ? Eh bien vous avez une image assez proche de ce à quoi j'ai ressemblé les cinq premières minutes. (Non... Je ne suis pas unijambiste) Après avoir sué l'équivalent de la mer méditerranée, je peux aussi vous dire que les 4 dernières minutes ont été agréables. Mon souffle s'est régulé un peu et le point de côté (Quand c'est situé sur toute la largeur de mon ventre, est ce qu'on appelle toujours ça un point de côté ?) est passé. 

Et finalement, ces dix minutes m'ont fait tellement de bien que j'ai décidé de les coucher par écrit. (Ce qui vient d'être fait, la boucle est bouclée !) 
Je peux donc aller m'effondrer de fatigue, sereinement. (Si l'effort était trop intense et que je ne me réveille pas : je ne lègue rien à personne !)

Je vous souhaite la bonne nuit mes petites enzymes, et à lundi prochain. (On va probablement parler panda ! - le teaser de folie !)

lundi 20 juillet 2015

J-287 : Call me the Bulimic Unicorn

Crotte, crotte, crotte et tierce caca ! 

(Sérieusement, c'est ça ton introduction ? et ces troubles de la personnalité multiple*, tu comptes les faire soigner un jour ?)

Une semaine de vacances et je ressemble à une licorne boulimique ! Fichu cerveau qui pense "c'est les vacances, faut profiter !" alors que mon corps n'avait pas besoin de tout cet apport calorique. (Et d'ailleurs, il n'a pas trop apprécié le voyage vu la tronche de calculatrice que je me paye)

Pour moi, vacances ça rime avec laisser aller. Dans tous les domaines. Je vis sans heure, je prends mon temps, je fais la sieste si j'en ai envie, je visite si j'en ai envie, et forcément je mange ce dont j'ai envie. Et quand je parle d'envie, c'est bien le moment où je vais m'autoriser toutes ces choses dont je n'ai pas besoin mais qui me font de l'oeil. La pensée "mais en fait, j'ai pas faim" n'existe plus, elle est remplacée par "c'est les vacances, fais toi plaisir". Et pas "un peu plaisir", non non, chez moi c'est plutôt open bar 24/7 ! (Et l'Open Bar 5 étoiles, s'il vous plaît, j'aime manger quand c'est bon. Je ne vais pas au fast food**.)

Résultat des courses ? Je me trimbale 2 kilos en plus... en une semaine.
Deuxième résultat des courses ? J'ai passé des supers vacances, avec un niveau de détente de la nouille rarement égalé. Et pour ça, je ne regrette rien (non, rien de rien).

Dans cet article, vous n'aurez donc pas la satisfaction de me lire en train de me flageller pour avoir trop mangé (et trop bu aussi, n'oublions pas l'apéro). 2 kilos de plus ? Qu'à cela ne tienne, ils seront partis la semaine prochaine ! Je ne me flagelle pas, mais je mets en place une stratégie militaire de haut niveau pour arriver à mon objectif le 08 août. (Je vous expliquerai un jour pourquoi je me fixe des objectifs, pour l'instant, sachez juste que j'en ai besoin. *Maniaque du contrôle spotted*)

Comme tout super agent du gouvernement qui bosse sous couverture j'ai un plan, et des goodies.

Le plan (*jingle inquiétant*) :

- retour à un nombre de calories raisonnables, avec le moins possibles de trucs qui se stockent. (Ce midi par exemple : une galette Bretonne fourrée oeuf, 1/2 steak, tomates, poivrons, olives, ail. Et une compote. yummy)
- reprise du sport : je vais me plancher/gaîner toute la semaine. Vu qu'il fait chaud, je n'irai pas m'enfermer dans la salle de sport, mais j'irai nager 2 ou 3 fois cette semaine. Et je vais essayer de marcher une heure par jour.

Les goodies (*même jingle inquiétant un peu plus aigu*)

- Google Fit : pour compter mon nombre de pas et avoir une estimation de mon temps de marche.
- my fitness pal : mon compteur de calories. Il me donne un coup de pouce de temps en temps et je le trouve bien fait.
- le blog de MyFrenchMuse pour me donner des idées complémentaires d'exercices. Quand j'ai envie d'avoir mal. On sait jamais.
- un maillot de bain bullet-proof
- des chaussures à réacteur (ok, là on dirait inspecteur gadget, j'arrête)

Le Super-Acolyte 

- z'homme. Je ne vous le présente plus (il trouve d'ailleurs que z'homme ça sonne comme Zob... boaf..), il sera là toute la semaine à suivre le même plan que moi (on travaille pour le même gouvernement). Et même s'il n'a pas le rôle principal dans le film (la vedette, c'est moi), son rôle de second sera primordial pour sauver le monde !

Rien de bien dithyrambique sous le soleil donc. Mais je pense que ça fera l'affaire. Je fais confiance à mon corps. Et si vous hésitez à venir voir la fin du film, je vous rappelle tout de même qu'il y a des licornes boulimiques dedans...

Illustration. Eh oui. Quand même.



Jour 78 : Je reprends mes saines habitudes, je me mets 3 coups de pieds au cul, et je garde un mental d'acier !



* : Oui alors en fait, la schizophrénie, ça n'a rien à voir avec le fait d'avoir plusieurs personnalité. Allez vérifier dans le DSM (ou tout autre outil diagnostique) et/ou Wikipedia (ça marche aussi).
** : Sauf au BK quand je suis à Lille... J'avoue.

lundi 13 juillet 2015

J-294 : Mes indispensables de l'été

On a tous nos moments de faiblesse. Aujourd'hui, c'est mon tour et j'ai envie d'écrire quelque chose de léger. Et puis c'est l'été, il fait beau, (méga trop) chaud, on a les creux poplités à l'air (vitamine D, tu me fais du bien) et à l'UV (toi par contre, tu me fais des rides, et je t'aime un peu moins). 


Attention enzyme, je te parle des indispensables là. Je suis faible, mais pas encore prête à te faire un article que tu as déjà lu 50fois avec les tendances modes de toute à chacune. Je ne vais pas te parler maillot de bain, tu portes ce que tu veux, et si tu oses te balader le bidou à l'air, bravo, continue comme ça ! Je ne vais pas te parler make up non plus (et pourtant Dieu z'Homme sait que j'adore ça - pardonne moi de t'avoir traîné 5fois aux galeries Lafayette et 18fois dans tous les magasins cosmétiques de Toulouse...)
Non, moi je veux te parler de ce qui est nécessaire pour mon corps grassouillet, pour mon cuissot frotteur et ma tendance à la sudation. (Mmmmh, so glamourous !)

Prêtes ? On y va pour un top 5 de la nécessité pour survivre en milieu hostilement chaud :

#1 : Le short

Ouai ok, la fille elle dit qu'elle va pas parler de mode et elle met le short en 1er ... 
Oui mais non... Je vous parle surtout du short type "cycliste", en matière legging ou plus épais.
Excusez les montages kitsch, je découvre les applis de retouche photo...
Le cycliste, c'est le short qui me permet de mettre autant de robes que je veux l'été. Parce que mettre des robes, j'aime ça. Avoir une sensation de frottement qui tourne à l'irritation, beaucoup moins. Et que le short soit moche, c'est pas grave, on ne le voit presque* pas sous mes robes !

Avantage bonus : ça permet de s'asseoir comme un homme, pas besoin de faire attention au fait qu'on puisse voir votre culotte string boxer partie intime. (Bon, je ne m'assois pas non plus comme un camioneur, mais ça permet une liberté de mouvement supplémentaire.)

*presque : J'ai 24ans. Tu penses vraiment que je mets des robes qui descendent en dessous du genou ?!

#2 : L'éventail :

Mon premier investissement lors de mon déménagement ! J'adore le style que ça me donne (Vous me trouvez grosse ? Regardez, je m'en fou et j'ai même de quoi avoir moins chaud que vous!) et le regard mi-envieux, mi-moqueur des gens autour de moi quand je l'utilise. "Vous avez vu celle-là avec son éventail ?" "Pfff en fait j'aimerais bien en avoir un aussi, ça a l'air agréable...", "Elle est vraiment en train de s'éventer l'aisselle là?!" 
Bande de jaloux, achetez vous en un ! Ca coûte une misère, ça fait un bien fou (pensez métro aux heures de pointe), c'est écologique et élégant (quand on l'utilise de façon traditionnelle) !

J'ai choisi le mien particulièrement vitaminé. Merci Pylones ! 

#3 : L'élastique :

(celui pour les cheveux, pas celui du slip - je suis vachement orientée underwear aujourd'hui...)
J'ai les cheveux longs. Voilà, tout est dit. Ils me tiennent chaud, je les attache. Fin de l'histoire. Mais mon ami l'élastique méritait de faire parti de la liste.
Allez, je vous épargne la photo, il y a foule de coiffures originales un peu partout sur les réseaux sociaux ! (Ma dernière réussite, c'est quand même le bun avec une tresse qui part de la nuque juqu'en haut de la tête)

#4 : La bouteille d'eau (et ses dérivés)

Non, je ne travaille pas pour le gouvernement. Et non, ceci n'est pas un spot de prévention anti-canicule. J'ai juste un besoin incessant d'eau. Sans chaleur, je bois 1L5 minimum par jour (d'eau, je parle d'eau). Alors avec chaleur... Imaginez. Bon, du coup, je vais au pipi room toutes les 5 minutes, mais j'en ai besoin. (Il me FAUT DE L'EAU, DE L'EAU !!! *pub des années 90, même si mon corps n'est plus en pleine croissance*)
On vous a déjà dit qu'il était possible de confondre la sensation de faim et celle de soif ? non ? Eh bien pourtant c'est vrai. Je m'en rends compte maintenant que j'avale des litres. J'ai plus souvent soif que faim, alors je bois (et je vais faire pipi, ce fameux principe de cause à effet).
L'eau est donc un indispensable toute l'année, mais encore plus en été, où je consomme tout ses dérivés ! Piscine, mer, brume d'eau, bouteille d'eau, douche, fruits (sisi, ya de l'eau dans les fruits), pastis !

#5 : Le débardeur

Finissons sur une recommandation amicale. 
Mes petites enzymes, quand et si vous avez des gros bras, ne portez plus de tee-shirt qui marquent le bras (mais si vous voyez de quoi je parle, le basique de chez Camaïeu, le type de tee shirt qu'on pourrait piquer à nos hommes)... S'il vous plaît. Vous vous faites du mal. J'entends que vous ayez chaud, et la sensation que si c'est pas un peu caché on va se moquer de vous. Mais le tee shirt, ça vous marque le bras (et l'épaule), ça vous l'emprisonne, ça donne un rendu visuel très bizarre qui fait qu'on les regarde encore plus, vos bras ! Optez pour un débardeur, à manches épaisses plutôt, pour éviter de ressembler au camioneur que je mentionnais plus haut. L'autre possibilité c'est le tee-shirt ultra large qui pendouille sur une épaule. Eventuellement la manche longue si vous êtes courageuses, ou la manche 3/4 un peu flottante si vous voulez un peu de frais. 
Essayez, comparez, et dîtes moi si je vous ai convaincues !


#bonus : ma cup (âmes sensibles s'abstenir)

Mais qu'est ce que c'est que ce truc ?! (indice : normalement il y a l'adjectif "menstruelle" après "cup")
Et pour le coup, je pense qu'une vidéo vaudra mieux qu'un long discours :


Au fait, si tu te demandes pourquoi je te raconte toutes ces choses inintéressantes, c'est très simple :
JE SUIS EN VACANCES !!!
Osef* de la balance pendant toute la semaine !
Sur ce, je file, j'ai un bikini à enfiler et un cuissot/jambonneau à faire caraméliser !



Jour 71 :  Maillot une pièce, mono/bi kini ou combinaison intégrale ?

*Osef, pour les plus de 35/40ans non geek, ça veut dire On S'En Fout.

lundi 6 juillet 2015

J-301 : Comment j'ai perdu 6 kilos en deux mois :

Il paraît qu'il est de bon ton de livrer son ressenti quand on fait un blog. Et là, petites enzymes, je me rends compte que jusqu'ici je vous ai plutôt écrit des articles sur des généralités, ou mes réflexions, mais bien peu de sentiments. (Remarquez que ça vous donne un indice sur ma personnalité également)
Qu'à cela ne tienne, aujourd'hui, je me lance, je m'expose ! (même si je n'excelle pas dans le style, vous me le pardonnerez j'espère)


(On m'a dit aussi que les ptites phrases humoristiques c'était sympa !)
Alors, hum... Bon ! (Boudiou, c'est difficile d'organiser des sentiments dans un ordre logique !) Pourtant, en deux mois, il s'en est passé des choses là-haut dans ma tête... Je suis passée par plusieurs stades.

D'abord, il y a eu l'inquiétude : "Est ce que je vais y arriver? Est ce que ça va être difficile ? Qu'est ce que je vais faire si je flanche?"...
Ensuite, la motivation/ le sentiment d'être invincible (Un peu comme The Rock... Ou Rocky. Peut-être WonderWoman !) : "J'y arrive!!!!" en combo avec la fierté à la fin du premier mois. (C'est quand même très agréable d'être fière de soi)
Puis, avec la période de stagnation, l'inquiétude à nouveau, mais différente. La peur de l'échec surement. La peur de la privation pour remplir mon objectif également. Bon, ce sentiment a vite été remplacé par celui que j'appelle le "allez, active toi ma fille".
Et enfin, depuis deux semaines, c'est le mic mac : "je ne me rends pas compte que je perds du poids - et pourtant j'en perds", "Il faut ABSOLUMENT que je remplisse mon objectif", "Est ce que je ne pourrais pas perdre un peu plus que ce que j'avais prévu...?", "Et le mois prochain?", "Est ce que mon entourage remarque que j'ai perdu...?", etc etc.

Je dis que c'est un gros n'importe quoi, mais au final, je pense pouvoir y arriver. Enfin non. JE VAIS y arriver. C'est juste perturbant de ne pas se rendre compte qu'on maigrit. J'avais tellement l'habitude de me voir perdre du poids à un rythme rapide et visible (pour tout reprendre après, certes). Et même, c'est "perturbant" parce que je n'en ai pas l'habitude, mais c'est surtout "trop-méga-génial-de-la-bombe-bébé" parce que j'ai le temps d'appréhender les changements de mon corps. Je n'ai même plus cette obsession de perdre vite vite vite VIIIITE - et ça, c'est un soulagement, parce que je me mets une pression monstre dans ce cas. (Bon, ok, cette obsession revient de temps en temps, mais de moins en moins oppressante, j'y travaille)

Il y a eu aussi l'excitation, de manière générale. J'avais un projet, il était tout nouveau tout beau. J'avais un blog, je devais le rendre tout beau tout lisible. (D'ailleurs, tu penses quoi du nouveau design petite enzyme?)
Il y a toujours l'excitation. J'ai toujours tout un ensemble de choses nouvelles à apprendre (Comme le langage HTML les mises en page appropriées à ce genre d'expression, les retouches photos, le miracle des liens entre les différents média sociaux... tout ça tout ça quoi!) J'ai toujours l'envie d'être lundi pour publier. D'être mardi (ou mercredi, jeudi, vendredi) pour feuilleter les blogs connus et m'en inspirer.
Finalement, je ne peux que te dire merci à nouveau petite enzyme pour toute cette énergie positive que tu génères (remarquez que je suis rarement négative, mais un peu plus de positif, ça ne fait de mal à personne)

Sans transition, les graphiques  (Ouf, zone de confort reached...) :


Et les chiffres :
Je pèse aujourd'hui 105.8kg, mon IMC est de 40.8 (bientôt fini l'obésité morbide), ma taille mesure 102cm, mes hanches 133cm et ma cuisse 80cm.
Autant dire qu'aujourd'hui, j'ai perdu 6.4 kilos en deux mois, que j'ai perdu 8cm de tour de taille, 5cm de hanches et 2cm de cuisse et que j'en suis fière.



Au fait, tu ne sais pas/plus d'où je démarre ? Passe ici, éventuellement ici, et ici.
C'était trop fleur bleue et tu me détestes ? Exprime toi, je ne modère que les injures (quoique...) et le non respect d'autrui.
C'était agréable à lire ? Tu peux aussi me le signaler, mais je ne promets pas d'en écrire des comme ça tous les quatre matins !


Jour 64 : On est reparti pour un mois ! ("On" ne s'accorde pas. J'vous jure.)